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Considéré comme la plus grande opération immobilière dédiée à la recherche en chimie en France, le bâtiment Chimie Balard Recherche sera inauguré le 13 juin au CNRS.
L’Université de Montpellier a souhaité devenir un site reconnu pour le développement de la chimie du futur, la chimie verte. À ce titre, l’établissement, avec ses partenaires (dont la Région et le CNRS) a lancé la construction d’un bâtiment spécifique capable d’accueillir sur 25 500 m² les équipes de recherche de l’Institut des Biomolécules Max Mousseron (IBMM), de l’Institut Charles Gerhardt Montpellier (ICGM) et des unités mixtes de recherche du CNRS, de l’UM et de l’ENSCM.
Près de 800 chercheurs sur place
« Ce bâtiment exemplaire a été conçu pour répondre aux fortes exigences techniques induites par les activités de recherche qui s’y déroulent », commente l’UM qui cite « 244 modules de recherche destinés à accueillir près de 800 personnes, une plateforme d’analyse et de caractérisation hébergeant des équipements lourds et mi-lourds dédiée aux équipes de recherche et aux partenaires industriels, ainsi qu’un centre d’innovation et de transfert destiné à l’accueil de start-up dans le domaine de la chimie verte ».
"Fédérer les compétences de la recherche publique et de la recherche industrielle sur l’étude de l’hydrogène pour imaginer des matériaux vertueux" Université de Montpellier
Un projet ambitieux financé à hauteur de 62 M€ par la Région Occitanie et par le CNRS (1 M€) qui va assoir la réputation internationale de Montpellier. « Avec la construction du bâtiment Chimie Balard Recherche, Montpellier accueille ainsi le plus grand centre de recherche en chimie en France, tant par sa surface que par ses effectifs », confirme d’ailleurs la Région Occitanie qui a programmé l’inauguration du site ce mardi 13 juin.
Source : METROPOLITAIN
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A la veille de réunions bilatérales organisées par la Première ministre avec les organisations
syndicales, l’intersyndicale, unie et déterminée, réaffirme son opposition à la réforme des
retraites.
L’intersyndicale, toujours massivement soutenue par les travailleurs-euses, la
jeunesse et une très large majorité de la population, réaffirme son rejet de ce recul social et
appelle le 6 juin, à une journée de grèves et de manifestations sur l’ensemble du territoire.
L’intersyndicale soutient la proposition de loi supprimant l’âge légal et l’allongement de la
durée de cotisation.
Le 8 juin, l’Assemblée nationale pourra, pour la première fois, se
prononcer par un vote portant sur la réforme des retraites. L’intersyndicale appelle
solennellement les député.es à la responsabilité en votant favorablement ce texte.
Ils respecteront ainsi la volonté de la population massivement exprimée depuis janvier.
L’intersyndicale réaffirme que c’est une question de justice sociale.
Cette réforme des retraites est injuste et brutale tout comme l’est par exemple la dégressivité des allocations
chômage, la conditionnalité d’accès au RSA ou des bourses étudiantes. A l’inverse, pour
l’intersyndicale, l’enjeu du pouvoir d’achat est central.
Elle porte notamment la nécessaire augmentation des salaires, des retraites et pensions, des minimas sociaux et des bourses
d’études.
Nous continuerons à travailler ensemble pour plus de justice sociale.
Dans le cadre de la préparation de la grande journée de mobilisation, l’intersyndicale se
réunira de nouveau le mardi 30 mai.
Notre premier combat est le retrait de la réforme des retraites.
Toutes et tous mobilisé.es le 6 juin !
Paris, le 15 mai 2023
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Rapport Assises du travail : ce qui pourrait bien changer votre vie professionnelle dans les mois à venir
RAPPORT ASSISES DU TRAVAIL - La réforme des retraites à peine votée, le gouvernement avait promis de s’attaquer au travail. Ou plutôt de s’attaquer aux maux des travailleurs et de leurs employeurs. Le rapport du Conseil national de la refondation vient d’être remis ce jour au ministre du Travail par Sophie Thiéry, présidente de la commission travail et emploi du Conseil économique social et environnemental (Cese), et de Jean-Dominique Senard, président du groupe Renault. Réalisé à l’issue des Assises du travail, le titre est alléchant : « Re-considérer le travail ». Voilà ce qui pourrait bien changer (par la loi, des accords de branche, des accords d’entreprises…) dans votre vie professionnelle dans les mois à venir, si les propositions qu'il contient venaient à être suivies d’effet.
Source : Cadre Emploi