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Une grande majorité de cadres en poste sont attentifs au marché de l’emploi
9 % des cadres en poste se déclarent en recherche active d’un nouvel emploi et 60 % en veille sur le marché de l’emploi. Cette veille ne se limite pas à des périodes ponctuelles, mais s’inscrit dans la durée : ces 5 dernières années, près d’un cadre sur deux a été en permanence ou souvent en veille.
Les offres d’emploi sont le canal n°1 des cadres pour rester à l’écoute du marché. Survol des offres de leur secteur, lecture attentive ou recherche sérieuse : en 2023, 88 % des cadres ont consulté au moins une offre d’emploi.
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Le produit intérieur brut (PIB) a augmenté de 0,2% au deuxième trimestre, a annoncé l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) ce vendredi. Une révision en baisse de 0,1 point par rapport à la première estimation.
La croissance reste faible au deuxième trimestre. Le produit intérieur brut (PIB) français a progressé de 0,2%, selon les résultats détaillés communiqués ce vendredi par l'Insee, soit une révision en baisse de 0,1 point par rapport à la première estimation. Pour rappel, le PIB avait augmenté de 0,3% au premier trimestre. Les composantes sont stables ou en légère hausse, à l'exception de l'investissement (-0,4%).
La consommation des ménages se redresse légèrement (+0,1% après -0,1% au premier trimestre), grâce à la consommation de services (+0,5% après +0,3%), tandis que la consommation de biens reste stable (après -0,1%) : la consommation alimentaire recule de 1,6% après déjà -0,1%), une baisse compensée par la hausse de la consommation en gaz et électricité (+3,0% après +0,2%).
L'investissement, ou formation brute de capital fixe (FBCF) pour l'Insee, diminue de nouveau (-0,4% après -0,5%). Il recule de 0,5% pour les entreprises, comme au premier trimestre, et de 1,1% pour les ménages, après -1,9% au premier trimestre. Elle augmente néanmoins pour les administrations publiques (+0,6% après +0,5%). Au total, la contribution de la demande intérieure finale - hors stocks - à la croissance du PIB est nulle au deuxième trimestre, comme au trimestre précédent.
Exportations et importations en légère hausse
Les exportations continuent d'augmenter modérément (+0,4% après +0,6%), grâce notamment « au dynamisme des livraisons de matériels de transport », explique l'Institut national de la Statistique. Quant aux importations, elles se redressent légèrement ce trimestre (+0,1% après -0,4%), soutenues par les importations d'énergie, eau, déchets et de produits agro-alimentaires.
Au total, le commerce extérieur apporte de nouveau une contribution positive au PIB (+0,1 point après +0,3 point). Enfin, la contribution des variations de stocks à l'évolution du PIB est nulle ce trimestre, comme au trimestre précédent.
Pour rappel, l'Insee table sur une croissance de 0,5% au troisième trimestre, largement soutenue par l'accueil des JO, et un léger repli de 0,1% du PIB au quatrième. La Banque de France anticipe pour sa part une « une hausse significative » du PIB au troisième trimestre, qui pourrait progresser jusqu'à près de 0,5% dans un climat d'incertitude politique. L'activité économique enregistrerait une augmentation de 0,1% à 0,2% entre juillet et septembre. S'y ajouterait « l'impact transitoire » des Jeux, « de l'ordre d'un quart de point », soit 0,25%, a détaillé la banque centrale début août.
Source : latribune.fr
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À quelques heures de la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques de Paris 2024, le président de l'Agefiph, Christophe Roth, explique comment bien intégrer les personnes en situation de handicap en entreprise, afin d'aller collectivement vers une société plus inclusive.
Des para-athlètes se sont insurgés contre l’étiquette de « super-héros » qui leur est souvent accolée. « Personne n’a parlé de super-héros pour évoquer Teddy Riner et Léon Marchand », a pesté Michael Jeremiasz, champion paralympique de tennis en double, mardi 27 août, tandis que Sofiane Mehiaou, membre de l’équipe de France de basket fauteuil, lançait quelques jours plus tôt : « Faut vraiment que tu (Teddy Riner, ndlr) arrêtes de parler de nous de cette manière, tu ne nous aides pas ! On est ni à plaindre, ni à valoriser. »
Les qualifications faites de diminutifs, ou, au contraire, de superlatifs, véhiculent un imaginaire erroné autour des personnes handicapées. « Cela leur porte préjudice, y compris dans la sphère professionnelle, affirme Christophe Roth, président de l’Agefiph (association d’aide à l’emploi des personnes handicapées) et Secrétaire national accessibilité et égalité des chances à la CFE-CGC. Certes, elles accomplissent des exploits extraordinaires, mais l’image du héros continue de les mettre en dehors des organisations, d’en faire des personnes différentes des autres. Alors qu’elles n’aspirent justement qu’à trouver leur juste place dans la société, en étant considérées comme des personnes ordinaires.
Lutter contre les préjugés
Aussi, en entreprise, le dirigeant préconise de lutter contres les idées préconçues. Et ce, dès le recrutement. Il s’agit « de changer le regard porté sur les personnes en situation de handicap, d’aller au-delà des apparences. Nous pensons que leur physique va entraîner une sous-performance au travail, mais c’est une erreur. Ces personnes ont un mental très fort, parfois similaire à celui de sportifs de haut niveau. Elles sont combatives et ingénieuses. Ce sont des travailleurs acharnés, qui ont une bonne hygiène de vie. Comme tout un chacun, ils ont des connaissances et des compétences intéressantes pour une organisation. »
Christophe Roth attire également l’attention sur l’invisibilité des maladies chroniques ou des troubles cognitifs, psychiques, et sensoriels, qui représentent 80 % des handicaps, soit 9 millions de personnes en France, selon l’APF France Handicap. « Ces handicaps invisibles sont encore plus difficiles à appréhender, voire sont associés à de la dangerosité. Les troubles mentaux, en particulier, suscitent des craintes. »
Après l’intégration de personnes en situation de handicap au sein des entreprises, poursuit le président de l’Agefiph, les managers ont la possibilité de « faciliter leur parcours professionnel ». Afin de rendre cette démarche subtile et efficace, il est préférable qu’ils y soient formés, car « personne ne peut vraiment s’imaginer les obstacles qu’elles rencontrent au quotidien », ajoute-t-il. Les managers peuvent alors aménager le temps, l’organisation ou encore l’espace de travail des personnes en situation de handicap.
Exprimer ses besoins
Et pour que cette personnalisation du travail se passe au mieux, « la personne handicapée doit apprendre à verbaliser ses besoins auprès de son manager, mais aussi du collectif, recommande le dirigeant. Si des avantages sont octroyés à cette personne, comme arriver plus tard le matin ou partir plus tôt le soir, alors cela doit être expliqué aux autres membres de l’équipe. Sinon, ils auront un sentiment d’injustice, voire de jalousie. Ils ne comprendront pas ce traitement de faveur. » Selon lui, les équipes doivent donc également être sensibilisées aux enjeux autour du handicap : « Cela leur permettra d’accueillir et de collaborer avec ces personnes en bonne intelligence, avec une ouverture d’esprit. »
Depuis quelques années déjà, l’insertion des personnes en situation de handicap sur le marché du travail « s’améliore », se réjouit Christophe Roth. Le taux du chômage est en effet passé de 19 % à 12 % en 2022, d’après la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES). Mais, « du chemin reste à parcourir », dit-il, car le handicap demeure la seconde cause de discrimination (56 %), juste après la couleur de peau (58 %), et devant le genre (46 %), l’orientation sexuelle (40 %), l’âge (35 %), et la religion (34 %), rapporte le dernier Baromètre du Défenseur des Droits, publié en décembre 2023.
Source : courriercadres.com
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Coordinatrice du service après-vente au sein du fabricant de moteurs Baudouin, déléguée nationale emploi et formation à la Fédération Métallurgie CFE-CGC, créatrice de vêtements sur son temps libre : Marguerite M’Balla se définit comme une « pile électrique ».
« Il faut toujours pousser les portes. Si on part en se disant qu’on ne va pas y arriver, en effet, on ne parviendra à rien. » Le parcours de Marguerite M’Balla illustre à lui seul cette conviction qu’elle porte en elle depuis toujours. Femme, de couleur, belle et parfois jugée seulement sur son apparence, elle a bataillé pour se faire une place dans le monde de l’entreprise et la société de façon générale.
Son premier combat, elle le mène contre les déterminismes sociaux et géographiques. « Toute petite déjà, j’étais intenable. J’ai toujours voulu être libre, indépendante. » Sa famille est plutôt bien installée au Cameroun et vit dans des conditions correctes. Elle dit de sa mère qu’elle est une femme attachée aux traditions. Marguerite est l’aînée de 4 enfants. Or, une première née de la fratrie d’une famille aux valeurs profondes comme la sienne n’a aucune raison de quitter son pays ou son continent. Rien n’y fait. Marguerite fait sa valise. Elle arrive seule en France, à Marseille, à 20 ans, en 1999. Sans diplôme, avec une vision idéalisée de l’Europe où elle pense poursuivre une carrière de mannequin, après avoir déjà plusieurs fois défilé en Afrique. Elle déchante vite. On lui en demande toujours plus, ou plutôt moins, parce que peser à peine plus de 50 kilos pour 1,73m c’est encore être grosse.
Lui reviennent alors en boomerang des phrases entendues dans son enfance. Dans la bouche de certains membres de la famille, qui associaient les belles femmes au vide intellectuel ; et d’autres l’invitant à exercer « un vrai métier » plutôt que de rester dans la mode.
La jeune femme opère donc un virage à 180 degrés. Sa vie ne sera décidément pas cousue de fil blanc. Elle peine à trouver sa voie. Secrétaire ? Pourquoi pas. « Je les percevais comme bien sapées, mais c’était une vison un peu minimaliste. »
De langue paternelle anglaise, elle qui parlait alors Français mais ne savait pas l’écrire entame des études qui vont jalonner plus de dix ans de sa vie. « J’étais assoiffée de connaissances, alors je me suis dit que j’allais profiter de cette belle opportunité de la gratuité des études en France pour aller le plus haut que je peux et aussi prouver que la beauté physique s’associe très bien à l’intelligence. Comme je m’ennuie vite, dès que j’avais le sentiment d’être dans une monotonie, je reprenais des études. » De secrétariat d’abord, sans grande conviction au début, juste afin de joindre l’utile à l’agréable. Elle valide un BEP, un bac pro, puis un BTS d’assistante de direction décroché en 2008 en alternance au sein de l’entreprise Baudouin (encadré ci-contre), qu’elle intègre en 2006. En 2014, un master en développement commercial couronne l’édifice.
Malgré tout, et bien que fidèle à son entreprise, dont elle dit que chacune a vu grandir l’autre, elle peine à occuper la place qu’elle estime être la sienne. « J’aime toucher les matières, j’aurais voulu être technicienne. Mais je me suis entendue répondre qu’on ne me voyait pas les mains dans le cambouis. J’ai souri à cette remarque mais en réalité, ce sont des remarques sexistes. Dans la métallurgie, les femmes sont trop souvent cantonnées aux métiers du tertiaire. » Autre difficulté : l’accès au statut de cadre. « On me disait toujours que je n’avais pas le bon diplôme mais même avec un master en poche, j’ai encore attendu plusieurs années ! » Jusqu’en 2019, précisément.
Elle occupe aujourd’hui son temps de travail pour moitié au service après-vente (une dizaine de techniciens) de son entreprise et pour moitié au sein de la fédération CFE-CGC de la Métallurgie. Elle tient à cette double appartenance qui, à ses yeux, permet de mieux négocier en connaissance de cause au niveau national.
Actuelle déléguée nationale fédérale au pôle emploi et formation, son parcours syndical, lui aussi, a nécessité qu’elle affiche sa volonté de contribuer à l’action collective. « Le délégué CFE-CGC de mon entreprise était dans le bureau en face du mien. Il constituait sa liste et n’en parlait qu’avec des hommes. Je suis allée lui demander si c’était seulement une histoire d’hommes. Il s’est montré surpris que ça m’intéresse. Il peinait à trouver le nombre de candidats nécessaires. Il m’a mise sur sa liste. » Et la voici déléguée du personnel pour la première fois, en 2009. Longtemps la seule femme, elle se réjouit qu’en 2023, aux dernières élections, la parité ait été atteinte dans le collège cadres d’élus.
Militante des droits des femmes dans la métallurgie
Mais le nombre ne résout pas tout. Encore faut-il que la parole des femmes soit réellement entendue. Elle participe donc aux Elles de la Métallurgie CFE-CGC, un groupe créé en 2019. Au départ, cela rassemble des secrétaires de comités sociaux et économiques (CSE) pour leur permettre de partager de bonnes pratiques en entreprise. Un groupe WhatsApp, un séminaire annuel et autant d’occasions de se soutenir et de progresser. « Je crois beaucoup à l’ambition des femmes et à leur place dans la métallurgie. » Au point de s’attacher à terminer, le jour où on la rencontre, un guide pour rassembler des outils dédiés aux militantes et afin d’attirer toujours plus de femmes vers la métallurgie. Elle-même ne manque pas une occasion de s’investir dans des instances régionales, en particulier celles en lien avec la formation professionnelle, un sujet qui l’intéresse beaucoup.
Son domicile à Marseille, l’entreprise située à Cassis, environ 3 allers-retours par mois à Paris, mère d’un adolescent de 13 ans : Marguerite M’Balla reconnaît être « une pile qui déborde d’énergie ». Inutile donc de l’imaginer s’adonner au farniente sur son temps de loisir. « J’ai une âme d’artiste et Marseille m’inspire beaucoup. » Elle dessine des vêtements et des accessoires de mode, commercialisés sur le site Internet de sa micro-entreprise (secretsdemag.fr) et sur des salons de créateurs.
Cadre, syndicaliste, artiste. Aujourd’hui, Marguerite M’Balla se sent bien dans sa vie. Elle ne s’interdit pas pour autant, plus tard, de se lancer de nouveaux défis professionnels. Elle confesse notamment un intérêt pour le droit. Et quoi qu’il arrive, elle veut toujours prendre l’existence du bon côté. Même lorsqu’elle affronte le racisme : « C’est le fruit de l’ignorance. » Elle est sûre d’une chose : « Le bonheur ne vient pas à ceux qui l’attendent assis. Les seules limites dans la vie sont celles qu’on se fixe soi-même. »
Source : Confédération CFE-CGC
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Le syndicat UT CFE-CGC NC, qui a tenu une conférence de presse, ce lundi 22 juillet, propose un train de réformes. Des solutions pour engranger des recettes et ainsi remettre les finances du Caillou sur pied : des jetons de présence pour les élus, une mutualisation des moyens de la fonction publique ou encore un impôt minimal pour tous. Mais pour cela, les représentants syndicaux veulent que les élus prennent des décisions, qu’ils tranchent. Un sujet de notre partenaire Les Nouvelles Calédoniennes.
Le gouvernement avait annoncé faire des économies en « ponctionnant uniquement la seule fonction publique et ces agents », rappellent les représentants syndicaux de l’union territoriale CFE-CGT NC, en conférence de presse lundi 22 juillet. En réponse, le syndicat a lancé un sondage et demandé à ses 3 000 adhérents et sympathisants des pistes pour réaliser des économies. « Les agents ont été prolifiques et l’ensemble des propositions a été relevé et nous les avons transmises à nos élus », précisent les représentants.
De nombreux travaux réalisés sans résultats
Les pistes sont donc nombreuses, mais ce qui ressort surtout, c’est que la CFE-CGT a travaillé sur tous les dossiers bien avant la crise actuelle (réforme du Ruamm, de la caisse locale de retraite, etc.) qu’elle a participé à toutes les assises, les tables rondes, et que toutes ces discussions n’ont mené à rien. Un message global est donc passé autour de la table de la conférence de presse : « nous voulons que nos élus prennent des décisions, qu’ils arrêtent leurs guéguerres, qu’ils tranchent », affirme le secrétaire général, Christophe Dabin.
Exemplarité des élus
Dans les mesures proposées, la première à être présentée est « l’exemplarité des élus ». Un point qui va de la transparence à la diminution et la rationalisation des collaborateurs, en passant par des retenues financières en cas de non-présence des élus en assemblée ou en commission. « Aller jusqu’à mettre en place un système de jeton de présence, l’élu est rémunéré en fonction de sa présence. On a assisté à suffisamment de réunions pour observer que dans nombre de commissions, tous les élus ne sont pas là » constate Christophe Coulson, président du syndicat.
Trouver des recettes pour financer les mesures sociales
Autre grand thème : les réformes sociales. Le mot réforme revient souvent chez les représentants de la CFE-CGT NC, insistant sur le fait que nombre de travaux ont été réalisés afin de réformer le système social, et que rien n’a été fait. « Un certain nombre de dépenses sociales ont été mises en place pour lesquelles il n’y avait aucune recette et elles n’existent toujours pas aujourd’hui. La réforme du Ruamm n’a toujours pas été votée, nos élus vont devoir prendre les choses en main », estime Christophe Dabin, secrétaire général.
Quelques idées ont donc été présentées comme mettre en place une taxe générale sur la consommation dédiée au social, réformer les dépenses de solidarité « tout en restant solidaire », ou encore instaurer un jour de carence dans la fonction publique territoriale.
Mutualiser les moyens dans la fonction publique
La fiscalité a elle aussi son train de propositions, comme instaurer un impôt minimal payable par tous, taxer les bénéfices des banques et des assurances « tout ce qui sort du territoire » précise Fabienne Kadooka, trésorière du syndicat. Puis Cédrik Sangarné, secrétaire général adjoint prend la parole pour présenter des idées de mesures dans le domaine des institutions et des services publics. Ainsi, les adhérents proposent de mutualiser les moyens humains et matériels de façon efficiente dans la fonction publique de Nouvelle-Calédonie, ou encore de travailler en collaboration avec les autres collectivités territoriales pour mutualiser les ressources.
Changer de modèle
Toutes ces idées ont donc été envoyées aux élus du Congrès. Mais l’idée la plus proposée par les quelque 3 000 personnes qui ont répondu au sondage, c’est « la mise sous tutelle de la Nouvelle-Calédonie par la France ». Des solutions qui « ne sont pas à prendre toutes d’un coup d’un seul, et hop ! On est sauvés », prévient Christophe Coulson, président de l’union territoriale CFE-CGT NC. « Nous les avons retranscrites, et nous les avons envoyées à tous les élus. Ils sont informés de nos travaux, on espère maintenant que l’on pourra travailler sur ces sujets, même si on a déjà travaillé sur certains d’entre eux. »
Des propositions qui ont été, dans certains cas, maintes fois débattues, discutées, et « qui n’ont abouti à rien. Maintenant, il faut prendre des décisions. On était au bord du précipice, les événements nous ont poussés dans le trou. C’est peut-être le moment de changer de modèle. »
Source : outremers360.com